Cette réflexion ornait de manière assez jolie un marque page offert par un libraire lors de ma dernière commande passée sur amazon.
Libraire en question : Quartier Latin, 6 rue Georges Teissier, 42000 Saint Etienne, www.quartierlatin.fr.
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Rédigé à 20:16 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
D'informaticiens et de chargés de ressources humaines ! C'est ce que laissent entendre les différentes études de l'APEC. Ces deux directions support des entreprises sont les "traditionnelles locomotives du marché - de l'emploi-".
Ces fonctions avaient besoin d'une augmentation forte de leurs effectifs, mais comme beaucoup de choses ces trois dernières années, il y a eu des abus. Comme dans les banques qui s'engagent vers une réduction importante de ces effectifs, de nombreuses organisations se retrouvent bloqués avec des projets informatiques ambitieux et des drh payés une fortune (selon la règle du "on n'est jamais mieux servi que par soit même").
Problème aujourd'hui : trop souvent, les effectifs productifs et commerciaux sont les premières cibles des réductions d'effectifs...
Rédigé à 08:05 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Les cartes cadeaux fleurissent depuis déjà un certain temps. Mais là, casa a de l'humour en présentant sa carte comme " un cadeau original". Utile, pourquoi pas, permettant d'éviter les doublons inutiles et ambarassants dans les cadeaux, aussi. Mais original, surtout pas. Mais est-ce que certains le pense vraiment ?
Rédigé à 16:53 dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Je profite de la couverture du mois de novembre 2008 de wired (photo ci-dessus) sur la nourriture contemporaine pour revenir sur un sujet que la crise financière actuelle tend à éclipser : l'approvisionnement en nourriture de nos sociétés.
Nous savons déjà que les légumes à papy n'alimentent plus ses petits enfants depuis des lustres : l'industrie alimentaire s'est chargée de marginaliser ce qui ne se produit pas selon des paramètres précis et libérés de toute contingence naturelle.
Le passage de l'artisant (le potager) à l'industriel n'as pourtant pas résolu tous les problèmes. D'un point de vu économique. Un gros inconvénient des plantes que l'on cultive : elle produisent les graines qui permettent de les replanter, ce qui permet au paysan de continuer son métier sans passer par le magasin de semances.
L'industrie de la futur food nous promet des avancées majeurs sur ce point. En oeuvre dès à présent. Je ne vais pas rentrer dans le détail, mais simplement orienter vers un petit livre accessible : Le marché de la faim.
Le livre se répètent, prend parfois des allures de militantisme aveugle. Mais il éclaire sur le schéma d'approvisionnement en nourriture de nos sociétés.
Deux monstres s'occupent de ce qui arrive dans nos assiettes :
Deux autres suivent, mais sont plus modeste en terme de maîtrise (ou "d'innovation") sur la "science food" : Syngenta (CA de 6,5 Md€) et Limagrain (CA de 1Md€).
Rédigé à 21:35 dans Actualité, Science | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Comme toute loi imprégnée de passion et non de raison, la loi sur la rétention de sureté (du 25 février 2008) est un premier pas engagé sur un pente glissante : le médecin-policier.
Comme souvent, le décret d'application (Téléchargement du décret) est instructif. Il comporte trois volets, sur l'entrée, les soins et la sortie de détention :
C'est bien le troisième point qui "collait à l'actualité", et que certains média ont soutenu avec des affaires dramatiques (en particulier le meurtre du "petit Valentin par deux psychopates", article), en cultivant un climat de peur. Il s'agit d'ajouter un étage supplémentaire dans le processus de décision de libération d'un détenu.
Le premier point pose le problème de la décision d'incarcérer dans des établissements spécialisés, sous le motif de dangerosité, une personne qui a purgé sa peine. Et ce, suite à un diagnostic d'un psychiatre qui se doit ainsi de considérer les statistiques (taux de récidive) et non uniquement le dossier médical et son analyse. La loi met le médecin face à la clameur publique, poussée par la passion de faits divers horribles. Pour être tranquille, son meilleur choix est donc le tout répressif : personne ne sort, sauf le cas extrême.
Tout celà est génant :
L'équilibre entre lutte contre la récidive criminelle et liberté individuelle est un sujet sensible. Quel que soit le crime, un violeur, tueur, ou autre massacreur est à priver de liberté pour nous protéger et à prendre en charge pour le protéger. Mais c'est à la société d'assumer ce point (privation et prise en charge), avec l'aide de professionnels.
Un décret plus précis a été publié début novembre (lien) donnant des précisions sur les procédures concernant la rétention de sureté, la surveillance de sureté et le médecin coordonnateur.
S'il y aura toujours des histoires de psychopathes qui massacrent sur pulsion, il y aura toujours des médecins, pire des politiques, qui abuseront de cette possibilité d'enfermer une personne "sur ordonnance".
La communauté des psychiatres s'en émeut et tente de faire sortir le débat du cercle des experts... car il nous concerne tous. Le curseur de la loi est bien au niveau des criminels condamnés pour des peines lourdes (plus de 15 ans pour des actes précis), mais elle introduit un mode de fonctionnement dérengeant.
Une pétition pour dénoncer l'orientation que donne cette loi à la pratique de la médecine.
Rédigé à 01:33 dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Comme chaque année, le centre de Lille des Arts & Métiers organise son "fignoss", soirée prestigieuse où le magnifique bâtiment de l'école est complètement redécoré par les étudiants.
Je garde un très bon souvenir d'avoir participé à cette préparation lors de mon passage à ce centre : petites nuits (puisque le jour nous suivons les cours normalement), une transformation bluffante, une soirée qui passe trop vite, mais plusieurs milliers de personnes en apprécient le résultat.
Remarque importante : toute la décoration est entièrement faite par les étudiants, en particulier les bars. Matière première : les palettes en bois des transporteurs. On en tire des planches qui sont poncées puis clouées / sculptées.
Le teaser (réalisation "maison" comme le reste) pour le fignoss 2008 (le 6 décembre 2008) :
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Rédigé à 20:27 dans Weblogs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Pour la troisième fois, je change de plateforme de blog. Je rejoins TypePad après quelques sauts de puces. Un retour aux sources pusique mes premiers pas sur la blogosphère ont été faits sur TypePad, après l'intervention de Loïc Lemeur à un cours. C'étais il y a déjà 4 ans, en dernière année d'école (Arts & métiers).
J'ai terminé l'année avec TypePad... dont la version gratuite hébergée par l'école n'a pas survécue à mon passage dans la vie professionnelle. Après quelques notes sur Blogger, trop simple et limité dans ses personnalisations, j'ai emménagé chez blogspirit. Très bien à ses débuts, ils n'ont pas conservé une plateforme au "goût du jour". Très peu d'évolutions en 3 ans. Ce qui m'a fait franchir le pas : les lourdeurs de la plateforme (temps de chargement rédibitoires)... et l'iphone. Pouvoir blogger facilement depuis son mobile est un argument décisif pour quelqu'un comme moi qui peut prendre el temps d'écrire une note principalement lors de ses déplacements.
Retour aux sources !
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