Nos chers amis chercheurs n’ont de cesse d’explorer les mécanismes du cerveau. Dans le contexte des nombreux programmes européens sur les neurosciences, le centre de recherche du Cyclotron (Liège, Belgique) a trouvé une clé de comparaison de ceux qui sont « du soir » par rapport à ceux qui sont « du matin ». La résistance à la pression de sommeil.
Première remarque : j’ai toujours au fond de moi connu l’existence d'une force irrésistible qui me fait vaciller à la mi journée et m’achève une fois la nuit bien avancée.
Or, ceux « du soir » sont plus résistants que ceux « du matin » à cette pression, sans que ceux « du matin » ne soient d’aucune façon plus performants le matin (là, c’est le critère de la performance attentionnelle qui fait la différence).
Donc si tout le monde constate que le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt, les scientifiques nous disent que non. Bien au contraire. A l’avenir, si votre DRH vous demande entre deux cafés si vous êtes du soir ou du matin, vous connaîtrez la bonne réponse…
Source : Article du bulletin électronique du Ministère des Affaires Etrangères
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