Ça donne une histoire drôle, sauf pour ceux qui, sachant compter, regrettent leur cotisation au Parti Socialiste.
Deux camps dans cette histoire :
Moi qui pensait bêtement que pour avoir un représentant politique dans une démocratie (ou une république) on votait, puis on contait pour trouver celui qui en a le plus. Si on n'y arrive pas, on recommence (deuxième tour, troisième tour,etc.).
Deux camps dans cette histoire :
- Les politiques, peuple de ceux qui ne veulent pas compter. Manifestement, ils sont habitués lors d'un vote démocratique, à estimer le nombre de papiers contenus dans une boîte selon des critères variables et personnels de couleurs politiques qu'eux seuls perçoivent sur les bulletins blanc. Heureusement, si leur langue fourche, l'écrit reste.
- Les journalistes, peuple de ceux qui ne savent pas compter. De toutes les informations dont nous avons été abreuvées ce week-end, heures par heures, nous parvenaient des chiffres. Beaucoup de chiffres. Dans un premier temps des chiffres en faveur de l'une. Puis, à partir du lendemain, en faveur de l'autre. La différence en faveur de la seconde.
Moi qui pensait bêtement que pour avoir un représentant politique dans une démocratie (ou une république) on votait, puis on contait pour trouver celui qui en a le plus. Si on n'y arrive pas, on recommence (deuxième tour, troisième tour,etc.).
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